SG 655K : Bêlit Sauvage


655k

Basée sur le comic « Savage sword of Conan », cette Bêlit a été conçue par le légendaire John Buscema, l’un des auteurs principaux des comics Marvel dans les années 60 et 70. Sa version est dans un esprit plus de cape et d’épée que celles que nous avons découvert jusque là et vous permettra d’honorer un grand artiste dont le travail a introduit Conan auprès de beaucoup d’entre nous!

« Mais Jamie ! » Je vous entends protester, « Nous avons déjà 2 versions de Bêlit, pourquoi une autre ? Qu’est-ce qui la rend différente ? »

Et bien ! Nous avons vu une version défensive de Bêlit ainsi qu’une meneuse d’homme. La Bêlit sauvage n’est que combat. Envolé le leadership et les compétences de supports, elle se consacre au corps à corps avec n’importe quel ennemi qu’elle rencontre.

« Mais Jamie ! » Je vous entends encore, « N’est-ce pas le propos de Valéria ? » Et dans un sens, oui tout à fait, mais il y a d’importantes différences. Valéria est une mercenaire et sait équilibrer défense et attaque, tandis que la sauvage Bêlit est entêtée et impatiente, et préfère se concentrer sur une attaque rapide et meurtrière. Elle sera l’un des personnages les plus rapides du jeu grâce à son potentiel de mouvement de base et son insaisissabilité.

Un peu comme Shevatas, elle sera capable de passer à travers les lignes ennemies mais elle ne pourra pas crocheter des serrures ou se faufiler partout, elle portera son potentiel meurtrier où vous en aurez le plus besoin.

Rappellez-vous aussi les amis que comme Bêlit est un personnage howardien officiel, nous avons le droit d’utiliser sa version Marvel, mais s’il-vous-plait, ne prenez pas cela pour un signe présageant une Red Sonja, j’ai bien peur qu’elle soit toujours hors de propos !

Sculpté par Thomas David
Sculpté par Thomas David
Sculpté par Thomas David
Sculpté par Thomas David
Sculpté par Thomas David
Sculpté par Thomas David
Sculpté par Thomas David
Sculpté par Thomas David
Illustration par Bertrand Benoît, colorisé par Sébatien Lamirand
Illustration par Bertrand Benoît, colorisé par Sébatien Lamirand